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 Vibrisses > L'association

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Vibrisses est une association loi 1901 créée en 2019 à l’initiative de la chorégraphe Joséphine Tilloy. Stéphanie Hurault la rejoint en 2024 pour porter les projets en administration et production. L’objectif est la création artistique ainsi que sa diffusion vers des publics. Autour de la danse, vibrisses regroupe plusieurs corps de métier. Elle est structurée par un bureau, constituée d'une équipe artistique et accompagnée en développement. Le travail de la compagnie s’articule autour d’une recherche sur le mouvement à la lisière entre l’écriture chorégraphique et la performance avec des auteur·rice·s, chercheur·euse·s, interprètes de différentes disciplines artistiques et des publics variés. Le lien entre création et transmission est fondamental.

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 Vibrisses > L'équipe

Josephine Tilloy

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© Aurélie Baudet

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Josephine Tilloy est issue de 4 générations d’artistes.
Elle se forme à Bruxelles en intégrant la formation Danse et Pratiques Chorégraphiques de Charleroi Danse en partenariat avec La Cambre, l’INSAS et l’ULB. Auparavant, elle choisit d’ouvrir son parcours en alliant théorie et pratique à l’université Paris-8 en théâtre et en danse, aux Rencontres Internationales de Danse Contemporaine. En même temps qu’un sport-étude gymnastique, elle commence la danse par des ateliers d’improvisation avant d’intégrer un cursus option arts-plastiques en horaires aménagés dans différents conservatoires comme celui d’Evry, de Montreuil ainsi qu’à l’A.I.D.

Elle apprend notamment auprès de Christine Gerard, Mark Tompkins, Robyn Orlin, Marina Rocco, Roberto Olivan, Olga de Sotto, Boris Charmatz...

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Josephine Tilloy est aussi interprète, aujourd’hui dans les pièces de Bouchra Ouizguen (Corbeaux, Elephant), de Claire Gérald (Désir fou, Célébration), elle improvise dernièrement dans une carte blanche de Marco Berrettini, dans une performance de l’artiste Claire Chassot, dans une mise en scène de Christine Bastin, elle travaille avec la compagnie Keatbeck et fait partie du Collectif Impulsion.

 

Elle commence l’écriture à la croisée des langages artistes via des collaborations avec des artistes, des musicien·ne·s et des metteur·euse·s en scène en France, en Belgique et en Tunisie.

Pour mettre en place ses projets, elle crée la structure vibrisses en 2019. Elle crée un diptyque Rosalie, Evila et entame son premier solo : Léonce. Elle mène différents projets avec des publics en lien avec ses créations et décline ses pièces dans des formats courts, performatifs, extérieurs pour tous les âges.

Stéphanie Hurault

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Stéphanie Hurault s’est formée à diverses disciplines sportives avant de s’initier à la danse. Après l’obtention de son diplôme en psychologie, elle nourrit son parcours de différentes expériences professionnelles et devient en 2019 membre fondateur et trésorière de la compagnie vibrisses de Josephine Tilloy.

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C’est alors qu’elle redécouvre le monde du spectacle vivant et opère, en 2024, une reconversion professionnelle en administration, production et diffusion. Aujourd’hui, porteuse de projets dans différentes structures, elle accompagne Josephine Tilloy au sein de vibrisses en tant qu’administratrice de production.

Ghislaine Louveau

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Ghislaine Louveau, danseuse, aime se mettre au service d’écritures chorégraphiques ciselées. Ainsi elle danse au sein de la compagnie Leste de Mariam Faquir depuis 2014 et collabore avec Joséphine Tilloy au sein de Vibrisses depuis sa création.  Elle a également pu travailler avec Raphaël Soleilhavoup, Claire Gérald, Tangible : Sébastien Molliex et Edwine Fournier, Laetitia Doat, Nicolas Maurel. Au fil des ans, elle développe également un goût prononcé pour l’improvisation et la composition instantanée, appétit qui l’ont conduit à performer avec/pour les plasticiennes Natalia Jaime-Cortez, Iris Dittler et la chorégraphe Bleuène Madeleine. En parallèle d’un premier parcours professionnel de psychomotricienne, Ghislaine Louveau participe aux ateliers de recherche et/ou de création d’Agnès Dufour, Christine Gérard, Christian Bourigault et Christine Bastin puis se forme aux RIDC, elle y obtient son DE de professeur de danse contemporaine. Cette double formation l’amène à apprécier particulièrement les situations de transmission réalisées avec les compagnies.

Ghislaine rencontre Joséphine lors de leur formation au RIDC. Elles sont interprètes ensemble au sein des compagnies Leste et TAM avant de collaborer au sein de Vibrisses. Ghislaine danse dans Rosalie et Evila et participe aux projets de transmission avec les publics (Héro.ïne.s Bis et partenariat avec le conservatoire de Boulogne-Billancourt).

Léa Mecili

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Léa Mécili est danseuse et comédienne. Fille de l’opposant politique algérien André Ali Mécili, elle s’intéresse très tôt aux questions identitaires. C’est ainsi qu'elle entame une licence d’anthropologie à l’université Paris 8 et qu’elle se forme aux danses orientales et traditionnelles d’Afrique du Nord avec la compagnie Leila Haddad dont elle deviendra interprète pendant plusieurs années. Elle intègre par la suite les Rencontres Internationales de Danse Contemporaine et  l’Atelier International de Théâtre Blanche Salant et Paul Weaver. Pendant sa formation, elle participe à la création de La Compagnie Qui, collectif né au théâtre des Bouffes du Nord avec le soutien de Micheline Rozan et de Peter Brook et collabore avec l’artiste plasticien Yves Yacoël. Aujourd’hui elle est interprète pour  la chorégraphe Claire Gerald et l’auteur metteur en scène Nebil Daghsen dont les pièces sont crées et jouées entre la France, la Tunisie et le Liban. Sa rencontre avec la chorégraphe Joséphine Tilloy en 2012 marque le début d’une collaboration qui ne cesse de grandir et qui s’est affirmée avec la création de Vibrisses en 2019. Elle est ainsi interprète dans Rosalie et  Evila et participe à différents projets de transmission avec les publics dans lesquels elle est chargée de créer, avec les participants, les bandes sonores des restitutions. Pour cela elle se forme à la création sonore à Phonurgia Nova. Elle travaille actuellement, toujours en collaboration avec Joséphine, à l’écriture de « La voix de mon père », création théâtrale et chorégraphique explorant un héritage historique et intime.

Hugues L.

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Hugues L, compositeur sonore et multimédia débute son parcours en s’associant en 1999 avec Loksman pour former le groupe Psykonote. Pendant plusieurs années ce duo joue ses compositions musicales à de nombreuses occasions, sort trois albums, et participe à la production de disques vinyles (ttc family). Le binôme se consacre par ailleurs à la composition de musiques plus intimistes et décide de créer le projet Phonoxoïd. Ils sortent sous ce nom un album et un disque vinyle, et ont également composé la musique d’un court métrage. En 2004, il poursuit son parcours musical en solo, continue les concerts, les expérimentations, les rencontres et la composition, notamment sur le label Hydrophonic records (Italie), sur la compilation Trace, et sur le label ttc. Depuis 2006, il se consacre à la composition de musique et la création d’espace sonore pour le spectacle vivant et collabore ainsi avec plusieurs compagnies de danse contemporaine reconnues : compagnie TAM, Cie Bilbo, Cie Lafeuille d’automne (chicos mambo), cie FacéCie, cie Toujours après minuit de Roser Montlló Guberna et Brigitte Seth au théâtre de la ville (Change or die). Après avoir suivi une formation délivrée par l’Ircam et le TNS, il propose des installations interactives, souvent liées à la musique et à l’image, et présente un travail basé sur l’interaction danse/musique avec la performance "Cache-Cache". Il réalise aussi des créations vidéos -interactives- pour différents spectacles.

Cécile Box

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Cécile Box est diplômée en design de l’ Ecole des Beaux-Arts de Rennes, puis de l’Ensatt (Ecole Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre) où elle a suivi le cursus « conception costumes », je vis et travaille aujourd’hui entre Paris et Marseille. Son travail sur le vêtement lui permet de mettre sa pratique plastique au service d'un univers spécifique, qui varie constamment selon la nature du projet. Chaque thème est l’occasion de se pencher sur certains codes vestimentaires et sociaux, de les exagérer, les parodier, les sublimer, les réécrire, les revisiter. Comme une partition visuelle, le costume participe pleinement de l'écriture d'un personnage, dès lors qu'il entre en scène. Il devient ainsi la synthèse du propos d'un.e metteur.e en scène, du ressenti d'un.e comédien.ne et de son intuition plastique. Partie intégrante de l'esthétique globale du spectacle, le costume est pour ellel'aboutissement d'un dialogue avec les différents acteurs du projet.

https://www.cecilebox.com

Camille Da Silva

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Camille Da Silva est danseuse contemporaine professionnelle basée à Bruxelles. 

Elle se forme au conservatoire de Rennes, aux Ballets du Nord de Roubaix, à Forum Dança à Lisbonne ainsi qu'à Charleroi-danse à Bruxelles. 

A travers son parcours, elle se forme auprès de différents artistes et chorégraphes : Carolyn Carlson, Olivier Dubois, Simona Bucci, Marlène Monteiro Freitas, Boris Charmatz, Lia Rodrigues, et Robyn Orlyn, entre autres.

Elle dispose également d'un Master en Genre et Sexualité ainsi que d'un diplôme de professeure de yoga Vinyasa.

Depuis 2022, elle se forme à la pole dance et présente des performances dans le milieu du cabaret.

En 2023, Camille est interprète dans dans la pièce "Evila" de Joséphine Tilloy/cie Vibrisses, dans la création "Roi Musclée" de Louise Buléon Kayser/collectif La Grosse Plateforme ainsi que dans la pièce "Beste Cantate" de la Juliette Chevalier/cie La Drache. 

Camille rencontre Joséphine Tilloy en 2019, lors de leur formation à Charleroi-danse. Son travail autour du rythme, des couleurs, de l'endurance et de la physicalité l'intéresse beaucoup. Camille devient interprète dans sa pièce "Evila", spectacle dans lequel elle développe une corporalité singulière à partir d'un rythme ternaire et de mouvements circulaires. Leur collaboration les amène à travailler ensemble non seulement dans la création mais également dans des ateliers pédagogiques à destination des jeunes publics.

Félix Bataillou

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C’est à la suite de cours de théâtre amateur dès son plus jeune âge que Félix Bataillou s’est intéressé au monde du spectacle vivant. Après un bac scientifique il entre au BTS Audiovisuel en option métier de l’image à Toulouse afin de débuter son questionnement du cadre et de l’image. Puis il obtient une licence en Histoire de l’Art mention étude théâtrale. Avec cette première base il rejoint l’ENSATT dans le département création lumière. À travers ces 3 ans d’études il développe ses compétences techniques ainsi que son œil artistique grâce à de divers projets. Il a notamment travaillé sur les projets Hippopotomonstrosesquipedaliophobie*du et par le Collectif ES, Orgiepar Jean-Philippe Albizzati, Petite sœurpar Béatrice Venet, Marx est mortdu Collectif des Grands Mâtins, Devaste Moipar Johanny Bert, Choisir l’Ecume par Alan Payon, Innocencepar Sarah Calcine ; et a assisté Floriant LEDUC sur la création de Nouveau Mondemis en scène par Claire Deutch à Genève. Tout en gardant à l’esprit ses acquis, Félix cherche à enrichir ses expériences et à développer ses compétences. 

Lou Sompairac

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Lou Sompairac est docteure en anthropologie de l’olfaction depuis 2021. Sa thèse décrit les manières d’appréhender les odeurs du quotidien dans plusieurs villes du monde (Pékin – Bombay – Rio de Janeiro – São Paulo- Nice) en révélant des pratiques d’odeurs aussi bien culturelles que singulières et porte son attention sur les processus du sentir dans un espace, au sein d’une interaction et dans un rapport à soi en utilisant des techniques micro-phénoménologiques de verbalisation de la perception comme l’entretien d’explicitation. Aujourd’hui, Lou Sompairac continue à questionner le sensible en collaborant avec différentes compagnies de créations artistiques (danse - art - musique). 

Nicolas Guyard

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Nicolas Guyard est maître de conférences en histoire moderne à l’Université Paul-Valéry Montpellier 3, membre du laboratoire CRISES. Spécialiste du catholicisme au XVIIe et XVIIIe siècles, il est l’auteur de plusieurs livres et articles de référence sur les questions du sacré et de la sainteté. Il est également membre fondateur du Groupe Interdisciplinaire de Recherches sur les Archives Familiales (GIRAF) dont l’objectif est d’accompagner les chercheuses et chercheurs en sciences sociales travaillant sur leurs propres archives familiales, autour notamment de la question des émotions et de la mise en écriture.

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